L’équarrissage: l’industrie du «recyclage» avant l’heure
En Amérique du Nord et du Sud, seulement la moitié de la matière issue de l’industrie de l’élevage de bétail finit dans nos assiettes. Les abattoirs, boucheries, usines de transformation de produits alimentaires et même les supermarchés se retrouvent avec d’énormes quantités de matières organiques qui ne seront jamais consommées. Que se passe-t-il avec ces restes? C’est ici que des entreprises comme Sanimax interviennent!
L’équarrissage: l’industrie du «recyclage» avant l’heure
En Amérique du Nord et du Sud, seulement la moitié de la matière issue de l’industrie de l’élevage de bétail finit dans nos assiettes. Les abattoirs, boucheries, usines de transformation de produits alimentaires et même les supermarchés se retrouvent avec d’énormes quantités de matières organiques qui ne seront jamais consommées. Que se passe-t-il avec ces restes? C’est ici que des entreprises comme Sanimax interviennent!
Comment les équarrisseurs jouent-ils un rôle important au sein des communautés qu’ils desservent?
- En récupérant et revalorisant plus de deux millions de tonnes de matières premières par année.
- En générant plus de cinq fois moins de gaz à effet de serre que si les matières organiques étaient enfouies.
- En soulageant les sites d'enfouissement qui seraient vite submergés sans cette transformation de masse.
- En respectant les limites de la planète et en étant un acteur clé de l’économie circulaire.
- En représentant l’option la plus verte pour traiter les sous-produits de l’industrie agroalimentaire.
- En récupérant et revalorisant plus de deux millions de tonnes de matières premières par année.
- En générant plus de cinq fois moins de gaz à effet de serre que si les matières organiques étaient enfouies.
- En soulageant les sites d'enfouissement qui seraient vite submergés sans cette transformation de masse.
- En respectant les limites de la planète et en étant un acteur clé de l’économie circulaire.
- En représentant l’option la plus verte pour traiter les sous-produits de l’industrie agroalimentaire.
- En récupérant et revalorisant plus de deux millions de tonnes de matières premières par année.
- En générant plus de cinq fois moins de gaz à effet de serre que si les matières organiques étaient enfouies.
- En soulageant les sites d'enfouissement qui seraient vite submergés sans cette transformation de masse.
- En respectant les limites de la planète et en étant un acteur clé de l’économie circulaire.
- En représentant l’option la plus verte pour traiter les sous-produits de l’industrie agroalimentaire.
Chez Sanimax, nous sommes fiers de tout transformer
Créer de la richesse différemment: c’est tout l’enjeu de l’économie circulaire.
Dans cette logique, nous valorisons plus de deux millions de tonnes de résidus organiques chaque année à travers l’Amérique du Nord et du Sud, ce qui veut dire beaucoup moins de déchets enfouis et de multiples articles d’usages courants fabriqués. Rouler en voiture, peindre sa maison, nourrir le bétail… Nos ingrédients à valeur ajoutée se retrouvent dans de nombreux gestes du quotidien.
Rendering: an impactful recycling process
In North America, half of what is created by the livestock industry does not make it to our plates. Sanimax reclaims what’s left over.
Instead of being thrown away, these unconsumed by-products are transformed into value-added ingredients.
Our high-quality industrial ingredients are used to manufacture everyday items. That’s the magic of the circular economy!



L’équarrissage, l’option la plus écologique
Transporter des résidus organiques vers des usines modernes pour les métamorphoser en nouvelles matières constitue une façon écologique de disposer de ces restes. Des études* démontrent que les émissions de gaz à effet de serre sont considérablement moins importantes que d’autres procédés potentiels.
Comparaisons des émissions de gaz à effet de serre (GES) pour 1000 kg de sous-produits de viande
Équarissage
Composte industriel
Digestion anaérobique
Foire aux questions
L’économie circulaire est un système économique dont l’objectif est de réduire au maximum la consommation et le gaspillage des matières premières. Basé sur le recyclage, ce modèle vise à éliminer la notion de déchet. Adopter l’économie circulaire, c’est préserver les ressources de la planète.
L’équarrissage est un procédé utilisé pour traiter les sous-produits de l’industrie agroalimentaire, grâce auquel ils sont transformés en huiles, graisses et en protéines. Dans un principe d’économie circulaire, ces ingrédients à valeur ajoutée servent ensuite à des entreprises manufacturières pour fabriquer des articles d’usage courant.
Visionnez cette animation pour mieux comprendre la nature de nos activités
Sanimax récupère des huiles de cuisson usées , des sous-produits de viande et d’animaux , des animaux morts à la ferme, des matières organiques et des cuirs. Cette activité est importante pour la santé publique. En éliminant, par exemple, les agents pathogènes des animaux morts à la ferme, Sanimax évite que ces carcasses représentent un risque pour la santé des populations avoisinantes.
D’importantes sommes sont investies chaque année pour améliorer la cohabitation de l’entreprise avec les communautés avoisinantes. Nous sommes conscients que les attentes de notre voisinage sont de plus en plus grandes et que nos activités doivent avoir le minimum d’impact. Pour faciliter cette cohabitation, Sanimax est plus que jamais à l’écoute des autorités municipales et des communautés. Apprenez-en plus sur nos engagements.
Les matières premières que nous récupérons peuvent générer des odeurs autour de nos installations. Ces matières organiques émettent naturellement des odeurs, surtout par temps chaud. D’année en année, nous continuons à investir dans des technologies qui ont déjà renforcé la stabilité et la performance de nos installations, telles que l’automatisation et l’intelligence artificielle. Ces améliorations nous permettent d’optimiser nos opérations et de réduire les imprévus, contribuant ainsi à minimiser les émissions d’odeurs.
Visionnez cette animation pour mieux comprendre la nature de nos activités.
Sanimax produit des protéines des graisses et de l’huile, ainsi que des ingrédients pour la nourriture des animaux de compagnie. Nous contribuons alors au rôle essentiel de l’équarrissage dans la chaîne de production alimentaire.
Chaque année, sur le continent américain, notre industrie produit plus de 4,5 milliards de kilos (9,92 milliards de livres) de graisses et d’huiles, ainsi que plus de 4,1 milliards de kilos (9,04 milliards de livres) de protéines.
Tout ce que nous récupérons est transformé en ingrédients destinés à diverses industries. Ces ingrédients à valeur ajoutée entrent notamment dans la fabrication de nourriture pour le bétail, de carburant renouvelable, d’engrais, de solvants, de peinture, de pneus, de crayons de cire et bien plus encore!
Au contraire! Nous récupérons une quantité énorme de sous-produits qui, s’ils n’étaient pas transformés, finiraient en déchets organiques indésirables. Mieux encore, l’équarrissage permet la séquestration de cinq fois plus de carbone qu’il n’en émet*. C’est l’équivalent de retirer plus de 12 millions de véhicules de la route à l’échelle des Amériques.
L’équarrissage est également l’option de traitement des sous-produits de l’industrie agroalimentaire la plus efficace si on la compare à l’enfouissement, au compostage, à la digestion en anaérobie ou à tout simplement laisser les matières sur le sol. En plus de libérer moins de gaz à effet de serre, le processus ne prend que quelques heures.
Visionnez cette animation pour mieux comprendre le fonctionnement de notre procédé.
L’enfouissement des résidus libère cinq fois plus de gaz à effet de serre que leur traitement par équarrissage*. Sans notre industrie, la quantité colossale de restes organiques qui devrait être enfouie causerait de graves conséquences environnementales.
*Source: GOODING, Charles et MEEKER, David. «Review: Comparison of 3 alternatives for large-scale processing of animal carcasses and meat by-products», The Professional Animal Scientist, Vol. 32, no 3, 2016, p. 259–270